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CHAPITRE 9


Les évolutions du système émotionnel humain au travers des âges


9 – 3 Où en sommes-nous ?


Étape 5 – L’ouverture au Saint-Esprit sur l’ensemble de l’Église, que sont les démocraties depuis 1968 et la crise de l’adolescence de l’humanité


Ceux qui furent les spectateurs honnêtes du bouleversement civilisationnel de cette époque, ne peuvent douter qu’il ait été d’ordre spirituel, tant l’impact émotionnel fut perceptible sur l’ensemble de nos démocraties de par le monde. Il est bien compréhensible que la majorité d’entre nous se refusent à le voir comme venant de l’Éternel Dieu, car si nous ne regardons qu’au résultat apparents aujourd’hui, nous faisons abstraction de la structure sociétale nécessaire au bon résultat de demain. Nous devons donc y voir au minimum, le fait que Satan aura fait une œuvre qui l’aura trompé, si nous savons aujourd’hui nous laisser conduire par Christ.

Il en est en effet comme de l’adolescence humaine, qui génère très souvent des conflits de génération, qui ne sont pas forcément dus à une simple rébellion, comme beaucoup l’imaginent, mais à un phénomène génétique de mort neuronale, qui est indispensable au bon fonctionnement du système émotionnel humain, même s’il conduit à une apparente perte du respect des valeurs acquises. Si les intéressés savent en tirer le bon enseignement et revenir de leurs erreurs, il permet à terme, de porter un regard nouveau sur les situations héritées des générations antérieures, ce qui génère une évolution bénéfique sur la génération nouvelle.

C’est en cela que nos démocraties doivent revenir des erreurs de tous les courants hippies et autres dérives laxistes, consommatrices de drogues et de débauches en tout genre, qui traduisent bien la défaite que subirent les hébreux à Aï, après Jéricho. Tout comme il en alla alors de la tentation de Caleb et Josué de revenir en arrière, nous devons y voir l’opportunité que ce bouleversement civilisationnel généra, par la situation sociétale indispensable à l’évolution émotionnelle individuelle.

Si aujourd’hui, nous savons nous tourner vers Christ pour revenir de nos erreurs, sans pour autant changer de structure sociétale, quand bien même l’ennemi de nos âmes aurait été l’instigateur de ce mouvement, il aurait en cela fait une œuvre qui l’aurait trompé, puisque cette situation permet aujourd’hui l’acquisition de la nature divine, là où Jésus devait précédemment couvrir la finalité non divine, de la programmation indispensable à toute forme d’action dans le cerveau. C’est à cela que nous devons y voir l’immense bénéfice apporté par Dieu en Jésus-Christ, que l’ennemi de nos âmes voudrait bien nous voler aujourd’hui. Faute d’avoir reçu le droit divin d’écraser le monde occidental, dont il a la haine et la jalousie, à cause de la couverture que l’œuvre de Jésus à la Croix lui offre, il est contraint d’utiliser Vladimir Poutine pour se retourner contre la seule Ukraine, qu’il considère être sa descendance spirituelle, puisque issue de la même orthodoxie et du même communisme.

Comme au temps d’Adam et Ève, Satan tente en cela de duper les bonnes volontés de chacun, à limiter toujours plus son système émotionnel ancien, comme s’il était possible aujourd’hui de faire mieux que le résultat obtenu avant la reconstruction d’Israël, là où Jésus veut aujourd’hui nous donner la vie en abondance, sous la conduite d’un système émotionnel progressant vers des actions écrites dans sa Nature divine.  

Si durant toute cette période la dotation spirituelle de l’humain à sa naissance, sera restée identique à la précédente, toute personne dans « l’Église » dispose depuis lors d’un accès à la réconciliation avec Dieu par le baptême du Saint-Esprit, appelé la nouvelle naissance. Si Jésus le dit en son temps à Nicodème, cela n’est pourtant vrai que si la personne est désireuse d’une obéissance à Dieu sur les valeurs de l’église de Christ, mais vécu par l’amour en Jésus-Christ, qui est le seul capable de procurer à cet Amour, l’équilibre dans la vie en abondance et simultanément le parfait respect de la loi divine.

Si durant les vingt siècles précédents cette période, la nouvelle naissance permit à ceux qui la reçurent, une meilleure gestion des programmations permettant toute forme d’action depuis leur cerveau, sans en changer la nature, cette nouvelle étape apporte alors la capacité à une nouvelle « adolescence ». Celle-ci change alors la nature de cette programmation accomplie sur les acquis de l’enfance et lui apporte directement la bonne précision sans qu’il y ait besoin de la corriger par un meilleur apprentissage.

Si le respect de la loi est donc fondamental, l’amour qui y conduit l’est tout autant, et même plus, puisque c’est lui qui est appelé à devenir le moteur de toute action dans la nature divine, comme ce fut le cas pour Jésus. Il ne s’agit donc plus seulement d’enseigner l’enfant ou le profane à un meilleur emploi de son quotient émotionnel, pour corriger au mieux la base de nature animale, afin qu’il puisse vivre un vague témoignage de son devoir d’amour devant Dieu. Chacun doit savoir et espérer aller plus loin sur la continuité de cette base, car le but divin en Jésus-Christ, va aujourd’hui bien au-delà de cette dimension. En Jésus-Christ, le but de Dieu est d’apporter à l’adulte sincère et déjà doté du Saint-Esprit, la mise en évidence des pièges que les programmations de son système émotionnel ancien génèrent à son insu, bien qu’elles soient déjà corrigées au mieux par le Saint-Esprit en lui. C’est alors la nature animale dans lesquelles ces programmations avaient été effectuées que l’adulte rejette au nom de Jésus, face à la tentation du péché, qui ouvre alors à Jésus la possibilité de mettre en place sa propre nature.

Il ne s’agit donc plus du respect d’une seule valeur englobant à la fois la volonté divine et celle d’un amour plus ou moins bien corrigé vers le respect d’autrui, mais de deux valeurs tout aussi fondamentales l’une que l’autre, à devoir respecter, comme il en était de Jésus lorsqu’il était encore sur terre, bien qu’aucun humain n’en possède la réelle valeur émotionnelle à sa naissance.

Heureusement pour nous, à la création de l’homo sapiens, notre Créateur n’était pas sans connaitre tout ce qui serait indispensable à la progression de celui-ci, et c’est ainsi qu’il fit l’homme et la femme différents dans une même génétique. Il équipa la femme de deux chromosomes sensiblement identiques, de valeur XX, pour apporter à son système émotionnel la stabilité, alors que les chromosomes de l’homme allaient être de valeur XY et lui apporter l’adaptabilité.

Si les spécificités génétiques de chacun, utilisées de façon additionnelle, permettent au couple de surmonter un temps les droits répressifs de cette tutelle, sans en changer la nature, leur emploi par complémentarité vers l’objectif divin de Jésus, nous permet de vaincre aujourd’hui les erreurs résiduelles dues à notre origine animale. C’est ce que Jésus devait systématiquement couvrir jusqu’alors devant Dieu, qui devient de défit à obtenir par le couple, chacun utilisé par Jésus dans sa propre spécificité, sans que l’un ne condamne l’autre, jusqu’à se diviser, qu’il s’agisse du couple individuel ou collectif.

Nous y retrouvons alors la femme, l’église et Israël, complémentaire à l’homme, la société et les nations, qui se doivent d’aimer leur « épouse » comme Christ a aimé son église et s’est donné lui-même pour elle.

S’il ne s’agit plus de mourir à la Croix comme le fit Jésus, il s’agit de faire mourir progressivement son propre système émotionnel ancien, par l’action de Jésus dans les cieux, pour en renouveler progressivement jusqu’à la totalité dans la nature divine du Saint-Esprit.

C’est aussi pourquoi la femme, l’église et Israël sont restées dans leur fonction initiale de résister à Satan selon la parole de Dieu, et se sont même retrouvée affermie sur ses valeurs de base, là où le mari, la société et les démocraties sont entrés dans une gestion par amour les conduisant à la recherche de l’Amour dans sa Nature divine, jusqu’à l’obtention sur terre d’une totale victoire contre la nature animale représentée par Satan.

De même que c’est à partir de la complète adolescence que l’humain, hommes et femmes, peuvent commencer de procréer, nous sommes entrés depuis 1968, dans la capacité du couple à donner naissance à une dimension de nature divine, par le bon emploi de nos spécificités spirituelles, pour produire l’être nouveau que Dieu veut faire naitre en nous dans sa nature divine. Il ne s’agit alors plus d’une simple adaptation du système émotionnel ancien à la façon de l’Église de Christ, mais d’un système émotionnel nouveaux, apportant l’appartenance la plus complète possible à « l’Épouse de Christ », car de même nature que Lui.

Chaque couple individuel, déporté de l’église dans la société, dont tous deux sont nés du Saint-Esprit, est appelé à vivre sa propre conquête de Canaan, à l’image de l’Église de Philadelphie, si Dieu les y conduit. La structure émotionnelle du mari permet à Dieu de l’utiliser dans le rôle du petit enfant qui ne « sait pas », bien que son entière volonté soit d’aimer son épouse sur le respect de la parole de Dieu. Cette entière et totale volonté le conduit alors à prendre conscience du piège que constitue les programmations anciennes dans son cerveau, jusqu’à les refuser une à une au nom de Jésus avant de les commettre, en faisant appel à Christ pour lui procurer l’action correspondante à la volonté divine. C’est en cela que le rôle de la femme s’est vu parallèlement renforcer, comme pour compenser l’apparente perte des valeurs du mari, afin qu’elle puisse elle-même être divinement employée selon genèse 2-18 comme une aide pour l’homme, « semblable à lui », qui peut également être interprétable dans le sens d’une aide « pour le protéger de lui-même ».

Une fois que le mari a atteint dans la nature divine, les valeurs spirituelles de la femme, Dieu peut alors inverser les rôles, non plus en apportant l’ignorance du petit enfant à celle-ci, mais en lui apportant la prise de conscience que ses rigueurs ne sont pas accompagnées d’Amour selon Dieu et l’intégrité qui s’y rapporte. Si l’amour du mari n’apportait pas la bonne action selon Dieu, et devait être réécrite par Christ au bon moment pour que son amour devienne de nature divine, l’action juste de la femme, produite par un amour encore égocentrique corrigé au mieux, doit être réécrit dans la nature divine de l’Amour, par un même processus de refus que celui concernant le mari, pour que l’action produite devienne juste selon Dieu. Seule la volonté sans faille de chacun peut le conduire à vouloir hériter de Christ dans les cieux, de ce qui manque à chacun sur terre à sa naissance. S’il en est ainsi, ce n’est pas parce que Christ ne veut pas nous communiquer sa nature, ou seulement au compte-gouttes, mais par respect du libre arbitre de chacun à choisir Christ en toute part de lui-même et non par tolérance au péché en lui.

Si aujourd’hui les spécificités spirituelles de chacun se trouvent soutenues par Dieu pour permettre l’accomplissement spirituel à venir, ce ne sera jamais un meilleur amour sans Dieu, qui permettra à Dieu d’apporter son Amour divin à l’humain, pas plus que la parole de Dieu employée avec plus de rigueur répressive, qui produira cet Amour divin. Les bonnes volontés de chacun son vaines si elles ne sont pas utilisées complémentairement, en communion réciproque entre l’un et l’autre, afin qu’au travers d’un niveau individuel, renouvelé dans la nature de Christ, puisse naitre un collectif selon Dieu.

Les civilisations issues du Judéo/christianisme sont ainsi appelées aujourd’hui à fonctionner hors du mode répressif de Satan, non pas pour permettre l’éloignement de Dieu, mais afin que chacun puisse entrer librement dans la nature de Christ. Comme il en était avant 1968, cette nature redeviendrait inaccessible à tout humain, s’il était maintenu dans le devoir d’obéissance à une loi ou à un simple consensus sociétal, et ne disposait plus de la capacité de comparer sa propre vérité avec la Vérité divine. La sincérité de chacun n’est pas à remettre en cause, mais la sincérité n’est pas pour autant la vérité selon Dieu et ce n’est pas dans le divorce et la condamnation que l’on obtient le contexte favorable pour recevoir cette nature, que ce soit au niveau du couple individuel ou collectif.

Faute d’avoir compris comment ce postulat s’intègre dans la volonté divine, chacun lutte contre Dieu, en tentant d’imposer son mode de fonctionnement à l’autre dans un amour encore imparfait, parce que chacun a oublié qu’il ne possédait pas lui-même la nature divine, mais seulement une image encore imparfaite de Dieu en lui. Chacun ne regarde alors qu’à son seul objectif devant Dieu, comme s’il était déjà lui-même dans la parfaite intégrité divine et condamne l’autre sans prendre conscience qu’il agit à l’image donnée par Jésus au sujet du « figuier stérile », mais tous s’étonnent de porter du mauvais fruit et en rejette le tors sur l’autre.

C’est ce qui marque encore aujourd’hui cette crise de l’adolescence de l’humanité, bien qu’elle soit sur le point de toucher à sa fin, car chacun prend plus ou moins conscience du besoin d’un retour aux sources envers Dieu. Les conflits naissent du fait que la nature divine n’était précédemment accessible à l’humain, uniquement dans les cieux, et laissait une place à la tutelle de Satan sur terre, là où maintenant Jésus veut l’apporter déjà sur cette terre, afin que nous puissions gérer notre évolution sans faire exploser notre planète. Cela sera donc vrai jusqu’à l’obtention par un très petit nombre d’humain, d’un système émotionnel correspondant au Temple du Saint-Esprit, à l’identique de celui de Jésus sur terre, ce qui génèrera le fait que Satan soit alors lié pour mille ans, après qu’il ait été projeté sur terre, dans une tentative désespérée du répressif.

Ce n’est pas à nous de définir l’ampleur des difficultés à venir, mais de travailler à l’espérance d’une réelle victoire spirituelle, apportant à l’humain la compréhension de son destin sur cette terre. C’est en plaçant notre foi et notre confiance en Dieu en Jésus-Christ, que nous obtiendrons la victoire, si nous voulons le suivre individuellement et collectivement jusqu’à sortir l’humanité de la tutelle de Satan, comme les ukrainiens s’évertuent à tenir bon contre la Russie, tombée elle-même dans la toile tendue par l’Antéchrist.

Cela ne sera bien sûr pas le cas sans difficulté pour l’ensemble des démocraties, mais ce qui doit nous encourager à en atteindre l’aboutissant, est le fil conducteur poursuivi par Dieu depuis six mille ans, de doter le système émotionnel humain de sa nature divine, permettant à chacun la valorisation de sa propre génétique, et une vie en abondance, bien que sur le respect de la parole de Dieu et de sa génétique.

L’humanité aura en effet franchi un avant dernier pas et si l’église n’existera plus, c’est qu’elle sera devenue l’Épouse de celui qui règnera sur terre et dans les cieux, libérant Israël de son devoir de gardien du témoignage du passage de l’Éternel Dieu sur terre.

Dieu fera ainsi d’une pierre trois coups, l’un au niveau individuel, l’autre au niveau collectif et le troisième au niveau de l’ensemble de l’humanité.

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